Comme la Terre est un volume fermé, avec une quantité de matière fixe donnée, l'aspiration à une économie de croissance permanente sur Terre n'a pas de sens (cf. un des tous premiers théorèmes d'analyse en mathématiques : toute fonction croissante dans un ensemble borné converge). Par conséquent, sur la planète Terre elle-même, la croissance doit un jour ou l'autre basculer vers une organisation de régulation, et ce siècle (2000-2100) devrait être notre virage vers la régulation de l'équilibre sur Terre. 

​

Homo sapiens occupe maintenant toute la surface viable de la planète et va terminer de l'avoir équipé avec ses infrastructures principales : par exemple, avant 2040, Homo sapiens devrait avoir fini de construire ses avions pour sa planète, basculant la cadence de ses usines uniquement sur du renouvellement, laissant disponible une grande partie de son industrie aéronautique de pointe. L'automatisation devrait de même continuer à se déployer dans tous les secteurs d'activité, factorisant toutes les tâches et laissant disponible une très grande partie de la population.

​

Ces avancées technologiques correspondent aussi au développement de la capacité de se protéger des événements planétaires et spatiaux qui pourraient venir mettre en danger la vie sur Terre, et aussi aux premières étapes pour que la vie ne disparaisse plus avec la Terre et son soleil.

​

Nous sommes simplement chanceux d'avoir eu le temps de nous "réveiller à l'intelligence" sans qu'aucun événement catastrophique planétaire ou spatial n'interrompe notre développement, d'être aujourd'hui dans un contexte spatial très calme, et qu'il nous reste pas loin d'un milliard d'années avant la fin de notre étoile.

​

Nous serons bientôt 8 milliards sur Terre, beaucoup d'entre nous disponibles donc. Pour animer dans une direction pertinente la population massive disponible sur Terre dans les 20 prochaines années, avec l'organisation de Participation Universelle mise en place :

​

Démarrons le voyage de la vie dans l'espace !